Adam Weils [curé]

Nom & prénom- Weils, Adam.
Surnom- Mon père (ai pas pu résister)
Sexe- Mâle, je crois que c'est évident... Quoi ? Vous doutez de ma virilité ?
Âge- Je les fais bien mes 28 ans... Pas vrai ?
Traits physiques- J'ai des cheveux courts, bruns. JE ne fais que passer le peigne dedans le matin, très rapidement. Mes cheveux sont bien le cadet de mes soucis. J'ai de petits yeux bruns et brillants, plein de malice. Je suis un prêtre de constitution frêle, pas comme ces gros évêques qu'on voit à la télé. J'ai lair facile à casser en deux, mais... ce n'est pas vraiment qu'un impression en fait. Je n'ai jamais été très porté au body building, J'étais plus du type sport de salon, ou de chambre. J'ai un visage aux traits masculins, pas de quoi s'y tromper. Je suis pratiquement toujours vêtu de noir et, peut-être par superstition, je porte toujours (mais vraiment toujours) un petit quelque chose de blanc, que ce soit un lacet ou un gilet.
Taille et poids - Je fais 1m70 pour 59 kilos ... ouais je sais. Une plume.

Je vais faire le caractère au complet tout dans un motton. Anyway, tout ce qui est demandé s'y trouve.

Caractère- De par mon statut de prêtre, les gens sont portés à me voir comme un homme sage, droit et sérieux. C'est effectivement l'impression que je peux donner parfois. Bien sûr, il m'arrive souvent, en plein milieu d'un office religieux quelconque, de placer une bonne plaisenterie bien salée, mais très subtile, que seuls les plus attentifs pourront comprendre. Mon humour est subtil, et pas du tout accessible à tout le monde.
Je peux me montrer fourbe, tromper les gens. En cas de besoin, c'est à dire très souvent, je peux, sans aucun scrupule, puiser mes ressources dans l'argent de la quête destiné aux pauvres. Mais je ne fais pas cela pour être méchant. D'ailleurs, je suis bien loin d'être une mauvaise personne.
Je suis, par contre, quelqu'un qui aime s'amuser. Il m'arrive de blesser des gens, mais jamais je ne le ferai intentionnelement. Je n'ai jamais de mauvaises intentions envers qui que ce soit. Je respecte les valeurs de l'Église, les comprends et m'assure que tout le monde prenne conscience de leur importance. Je prône tout particulièremt le pardon, et insiste très fortement sur ce point pendant mes sermonts. Ainsi, en inculquant cette valeur à tout le monde, je m'assure que la population me pardonnera tout mes écarts de conduite. Car de ça, j'en ai, et beaucoup.
Mais malgré cela, je reste quelqu'un de foncièrement bon, doté d'un sens du sacrifice extraordinaire.
Il y a bien sûr des choses auxquelles je ne résiste pas, et ne résisterai jamais; la bière, la drogue, le jeu et surtout, surtout, les femmes. J'ai toujours refusé de me plier à cette doctrine de l'Église qui interdit aux curés les plaisirs charnels. (je me cache quand même pour satisfaire mes envies. Pas envie qu'un supérieur me surprenne avec une femme.) Selon moi, interdire le sexe aux hommes de foi, c'est le meilleur moyen de les faire virer gays.
Dernière petite chose; je ne crois ni en Dieu, ni en Jésus, ni au st-Esprit. Ce que je raconte aux gens, je le fais parce que je crois en l'espoir et au bien-être que les croyances divines peuvent apporter aux gens. Moi-même j'aimerais bien pouvoir croire.
Valeurs- Je crois en l'espoir qu'apporte la foi aux gens.
Tics- je ne crois pas en avoir
Passé- Les gens qui me connaissent se demandent souvent ce qui m’a poussé vers la vocation de prêtre. Je n’avais rien de très saint. Tout jeune, à cinq ans, mes parents m’ont abandonné en face d’un orphelinat, ne laissant rien d’autre que quelques vêtements avec moi. "Nous allons revenir te chercher dans quelques heures" qu'ils m'avaient dit. Ils n'étaient jamais revenus. Les raisons de l’abandon demeurent un mystère pour moi. Mais pendant très longtemps, me souvenant du visage de ma mère et de mon père, j'ai souffert d’un manque incroyable. Tous les jours, j'attendais que mes parents reviennent me chercher. Deux ans. C’est le temps que ça a prit pour que je cesse de réclamer mes parents à n'importe quel instant. Après avoir arrêté de les pleurer, j'ai commencé à les haïr. Ils avaient donné naissance à un enfant, l’Avaient élevé comme le leur pendant cinq ans, pour ensuite l’abandonner comme si de rien était. Pour moi, c’était évident, ces gens étaient des sans cœur. Des monstres et ils ne méritaient pas d’être pardonnés.
C'est à 10 ans que j'ai été adopté. Le couple en question était formé d'un homme d'un âge assez respectable et d'une femme beaucoup plus jeune. Plus tard, j'avais apprit qu'autrefois, mon père adoptif avait été évêque, et ma mère, bonne soeur. Les deux s'étaient rencontrés alors que l'évêque faisait une visite au couvent. Il avait suffit que leur regard se croise pour que chacun d'eux abandonnent leur vocation. Mais ayant quitté le milieu, ils n'en restaient pas moins de fervents religieux. La foi les accompagnait partout.
Moi, par contre, j'étais un garçon désilusionné. Rien. Jamais rien ne pourrait m'apporter un réel bonheur. Le père noel était mort et enterré depuis très longtemps, et si je l'avais pu, je l'aurais moi-même enterré après lui avoir craché au visage. "Salaud! Tu ne fais que donner de faux espoirs aux enfants!" C'est sans doute ce que je lui aurais dit. Mais le père noel n'existait pas, tout comme cette connerie de Dieu qui "veillait sur ses brebis". Tout ce que je ne pouvais pas voir ni toucher, je le méprisais. Comme si j'étais assez naïf et bête pour croire aux inventions des adultes. Mais si, pour faire plaisir à mes nouveaux parents, je faisais semblant de croire, les derniers mots de mes parents me revenaient toujours à l'esprit.
Malgré cela, j'adore mes parents adoptifs. Ils sont drôles, attachants, et extrêmement gentils. Et pour rien au monde je ne les échangerais. Je voyais bien que leur soit disant Dieu les rendait heureux et que s'ils n'avaient pas cette croyance ridicule, ils seraient sans doute beaucoup moins heureux. Et ça je ne le voulais pas. Et j'étais reconnaissant à l'Église d'avoir inventé ce personnage tout puissant.
Au secondaire, à quinze ans, je commence à fréquenter une bande de jeunes voyous. Dans ma tête, rien de ce qu'ils font n'est mal. Je ne fais rien pour blesser les autres et m'arrête quand il le faut, priant mes amis de faire de même. Un jour, je me fais prendre à déposer des pétards dans le bureau de mon professeur. La direction me dit qu'ils enverront une lettre à mes parents. Coup dur pour un petit garçon qui a horriblement peur de décevoir ceux qui lui ont donné une chance dans la vie et qui l'ont sortit de son enfer. Déterminé à ce qu'ils ne recoivent pas cette lettre, je m'arrange pour arriver avant eux à la maison, interceptant le courrier dès que le facteur passe. Après une semaine de ce manège, la lettre arrive. Soulagé, je cours en vitesse à ma chambre, la missive cachée sous mon pull. J'ouvre la lettre, la lis et la relis. Rien de bien charmant sur mon compte. Comble de l'horreur, je remarque que la lettre doit être signée par mon père et renvoyée à l'école. Panique ultime. Pendant deux jours, je réunis de vieilles lettres écrites de la main de mon père. Je me pratique, apprends à imiter parfaitement son écriture. Après tant d'efforts, je retourne à l'école et tends, d'une main tremblante, la lettre que mon père aurait du lire et signer. AVec un grand soulagement, la lettre passe. Les professeurs ne s'aperçoivent de rien. Je cesse de fréquenter ma bande pendant un moment.
Nous voilà maintenant à l'évènement qui me conduisit vers ma carrière.
Alors âgé de 21 ans, je rends une petite visite à mes parents. En arrivant, je trouve ma mère à côté du téléphone, qui pleure toutes les larmes de son corps. Alarmé, je cours à ses côtés et la serre dans mes bras. Elle me raconte, entre ses sanglots, qu'on vient de l'aviser que son mari avait été tué dans un accident de voiture impliquant un couple alcoolique. Bouleversé, je rassemble le peu d'informations que je peux et me rends à l'hopital où ont été emmenés les survivants de l'accident. Je sais que mon père serait allé les voir pour leur pardonner leur faute. (à ce moment, je n'ai jamais touché à de l'alcool de toute ma vie et suis totalement contre la conduite en état d'hébriété)
Arrivé à l'hopital, je trouve la chambre où se trouve le couple. Au moment où je veux entrer, des hommes transportant une civière me bousculent. Apparement, le conducteur n'a pas survécu. Il ne reste donc qu'une personne. J'entre dans la chambre et là j'ai le plus grand choc de toute ma vie. Les genoux flanchent, je m'écroule par terre. Ces cheveux bruns, ce visage doux et sérieux, la peau, un peu plus ridée qu'autrefois. Aucun doute. La femme couchée dans le lit d'hopital, reliée à tout plein de machines, c'est ma mère. Ma véritable mère. Après m'être remit du choc, je se relève et m'approche. Plutôt ironique. L'accident qui tue mon père adoptif me permet de retrouver ma mère. Hésitant, j'approche une chaise de la femme qui repose là, endormie. Je prends sa main. Aussitôt, tout mes vieux souvenirs m'assaillent. Et j'en reviens à me demander pourquoi j'ai été abandonné. Au bord des larmes, je baise la main de ma mère et reste là, jusqu'à ce que j'entende le son régulier qu'émet le lecteur de signaux vitaux. Relevant la tête, je remarque que la femme a les yeux ouverts, un sourire timide sur les lèvres. Ainsi elle est morte en sachant son fils auprès d'elle. Avec tout le respect que je ne lui avais jamais accordé, j'abaisse les paupières de cette femme que je viens à peine de connaître. C'est là que ce fait l'illumination.
Sans croire en Dieu, je crois maintenant en l'espoir. Toute ma vie, sans même m'en rendre compte, je désirais revoir ma mère de tout mon être. Et je l'ai revue, dans les derniers instants de sa vie. Et sans le voir venir, je lui ai pardonné, moi qui avais toujours été rancunier envers mes parents. Je venais de la pardonner d'avoir tué celui qui m'avait éduqué à sa place. Décidant de suivre les traces de mon défunt père adoptif, je décide de me lancer dans la prêtrise, afin de redonner l'espoir aux gens qui l'ont perdu. Malheureusement pour moi, certains antécédents m'en empêchent; histoires de drogue, de prostitution, de violence gratuite et de falsification de documents. Mais bien sûr, ce n'est pas ce genre de détails qui peuvent m'arrêter. Déterminé à faire le bien autour de moi, je me crée des diplômes d'études. Mes "références" sont si bonnes qu'on me donne rapidement un poste de prêtre dans ce petit compté.

Personnage sur l'avatar (pour le recensement)- Pierre Lapointe
Où as-tu connu le forum- Par Maybechounette sur sadismus
As-tu d’autres personnages (multi comptes)- non
Quand pouvez-vous vous connectez habituellement: je le peux toujours, mais il m'arrive de ne pas me pointer pendant quelques semaines. Mais je préviens dans ces temps là ^^
Qu'avez-vous à dire à propos des règlements-
Ils sont cools ^^

[J'aurais une demande spéciale. Celle de changer mon adresse. C'est que je me suis inscrit à partir de l'adresse hotmail de Maybeth parce que j'étais chez elle. Je m'étais dit que je la changerais après mais je peux pas. Donc ce serait bien si ça devenait "sebakash@hotmail.com"]

Youppi! Un curé machiavélique... C'est vraiment ce dont on avait besoin dans notre petit village tranquille et paisible *sarcasme*
Bienvenue à toi!
J'ai modifié ton adresse e-mail. Je vais te donner ton rang. Tu décides où tu habites, à l'Église ou tu peux demander une maison.

Ah oui, une chose... «[...]je m'assure que la population de Fairview[...]». C'est où ça Fairview? XD

J'ai reprit ma présentation de sur un autre forum XD je vais éditer ça .. je croyais que je n'avais le nom de la ville qu'à la fin

Héhé, c'est pas bien grave!
Encore bienvenue!